À la une • 8 mars 2018
Nous mangerons moins de cabillaud et plus de thon
Pêche
Selon Sciences et Vie, nous mangerons de moins en moins de cabillaud, également appelé morue. Non pas que cette espèce disparaisse mais, en conséquence à l’augmentation de 1° de la température de l’Atlantique nord-est, elle vit plutôt au large de l’Islande et de la Norvège. Donc loin des côtes françaises. Ce qui rend les bateaux français moins compétitif pour ramener ce poisson. Il est moins coûteux de l’importer.
En revanche, le thon rouge se porte bien. Grâce aux quotas de pêche instaurés en 1998, il en existe aujourd’hui quatre fois plus qu’en 1950. Les populations de jeunes ne cessent de grossir. Ceci étant, le prix du thon rouge (la France a le droit d’en prélever 3.000 tonnes en Méditerranée) reste élevé.