Environnement • 5 novembre 2020
Les pays au chevet des espèces menacées
La Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d’extinction, un accord créé dans le but de ne pas menacer la survie des espèces concernées par le commerce international.
Une nécessité qui s’est imposée
C’est dans les années 1960 qu’est lancé le commerce international de la faune et de la flore sauvages. Il représente des milliards de dollars par an, et menace de nombreuses espèces, tigres et éléphants par exemple, pour ne citer qu’eux.
La nécessité de cette convention paraît de nos jours une évidence, même s’il a fallu plusieurs années pour la rédiger. Ce commerce touche les plantes, les animaux, les produits dérivés (alimentaires, le cuir, le bois, les cadeaux pour touristes ou encore les « remèdes miracles »…), et il peut aller jusqu’à l’extinction de certaines espèces, mais aussi la disparition des habitats et l’épuisement de certaines populations.
Même si toutes les espèces ne sont pas menacées de disparition, cet accord garantit un commerce durable et la préservation des ressources pour le futur.